Blog

so fizz cola

SO’FIZZ : LE SODA ALTERNATIF

A l’aube du 3e millénaire une communauté s’affirme, dans le monde entier, celle des femmes et des hommes qui ne veulent plus boire ni avaler des boissons et des aliments dénaturés par le dévoiement déontologique de l’industrie agroalimentaire.

ERIC FAVRE fut il y a plus de 20 ans un lanceur d’alerte à ce sujet, un pionnier, un précurseur du mouvement slow food en marge de la consommation mondialisée et formatée qu’incarnent les sodas. Qu’ils soient sucrés, et ô combien caloriques, aux graves effets secondaires, ou édulcorés à l’aspartame, ce qui est encore pire, ces sodas sont des bombes à retardement pour l’organisme. A l’inverse, la boisson naturelle, désaltérante, tonique et pétillante So’Fizz est un authentique sodalternatif.

La maladie du soda

Le 12 juin 2018 fut organisée la première « Journée mondiale de la NASH ». Cet acronyme anglais (Non Alcoholic Steato Hepatitis) est une pathologie désignée en France sous le nom de « maladie du soda ». Les hépatologues proclament que ce sera la maladie du siècle, aux conséquences aussi dévastatrices que celles du tabagisme.

Bien des français l’ont découvert lorsqu’un journaliste sportif, Pierre Ménès, dut subir en URGENCE une greffe du foie, souffrant d’une cirrhose à haut degré de malignité. Or il ne consommait pas d’alcool. Comment peut-on avoir une cirrhose impliquant une greffe du foie sans boire de l’alcool ?

Cette « maladie du soda » est une stéatose, complication hépatique du syndrome métabolique induit par l’obésité, le diabète, l’hypertension artérielle, l’élévation des taux de cholestérol et de triglycérides … directement liés à la malbouffe, à la sédentarité, à l’abus de graisses et de sucre.

L’abus de sucre est le pire ennemi du foie, quand on sait, depuis Claude Bernard en 1855, que c’est le foie qui régule les voies métaboliques du glucose qui lui parvient de l’intestin grêle, via la veine porte. Face à une surconsommation constante de sucre le foie est saturé, dépassé, en grande souffrance.

Et s’il n’y avait que le foie à souffrir d’un abus de sucre ! Le 19 novembre 1988, dans une chambre d’hôtel de Buenos Aires, on a retrouvé Christina Onassis morte. Une crise cardiaque. Elle avait 37 ans, elle ne prenait aucun médicament, elle ne buvait pas d’alcool. Mais depuis des années elle buvait des litres de soda par jour. Non pas des canettes de 33 cl, vous avez bien lu : des litres. Une addiction. No comment !

Lobbying …

L’Organisation Mondiale de la Santé est très soucieuse du gravissime problème de santé publique lié à cette « maladie du soda » et à la prévalence mondiale des méfaits d’une surconsommation de sucre. Une cannette de soda « traditionnel » contenant l’équivalent de 7 sucres, un enfant/ado/adulte qui boit 3 cannettes par jour (chez bien des addicts c’est le cas) ingurgite 21 sucres.

Ainsi, le 20 octobre 2016, l’OMS exhorta tous les pays à modifier leur fiscalité pour instaurer une taxe de 20% sur les sodas afin d’en limiter leur consommation. Vœux pieux ! Aucun gouvernement dans le monde ne bougea.
Et le 1er juin 2018 l’OMS fit un rétropédalage avec une recommandation fiscale concernant le tabac et l’alcool … sans nommer le sucre. On peut imaginer le lobbying derrière ces intentions avortées.

Un peu d’anatomie

La langue est un muscle qui a une particularité :
elle est recouverte de 10 000 papilles gustatives (vous avez bien lu : dix mille).

C’est la salive qui libère les molécules des aliments et des boissons, molécules qui entrent en contact avec les récepteurs situés à l’extrémité de ces 10 000 papilles, chacune étant reliée directement aux neurones de notre cerveau qui reconnaissent ainsi les 4 saveurs primaires : le sucré, le salé, l’acidité et l’amertume.

Le sucré, parlons-en.

Connaissez-vous votre point F ?

Le point G, on connaît, lié à la sexualité féminine. Mais le point F ? Il s’agit d’un « orgasme des papilles », ne souriez pas, c’est très sérieux, qu’a théorisé un scientifique américain diplômé d’Harvard, le docteur Howard Moskowitz.

Il nomme bliss point (littéralement : point de félicité, plus communément point F) le plaisir éprouvé en consommant du sucre, plaisir qui monte, qui monte, qui monte, jusqu’à l’orgasme (pour reprendre la comparaison avec le point G).

Howard Moskowitz, évoquant une ingénierie révolutionnaire, a vendu très cher son concept aux industriels de l’agroalimentaire pour qu’ils augmentent la teneur en sucre de leurs produits. Et pas seulement le sucre, son concept de point F concerne aussi le sel et les graisses. Toujours plus de sucre, plus de sel, plus de graisses …

Light & Zéro

Le sucre est mauvais pour la santétoxique à haute dose, alors c’est simple, ont imaginé les industriels, il y a une solution, on va fabriquer des sodas sans sucre.

Mais il y a un gros problème. Ces sodas doivent avoir un goût sucré, le contraire condamnerait leur commercialisation. Ce fut alors l’incorporation d’aspartame pour l’édulcoration des sodas aux dénominations light ou zeroUne dérive maléfique.

L’aspartame ! Ce n’est pas sans raison qu’il a été surnommé : le tueur silencieux !

Sa composition interpelle : L-Aspartyl-L-Phenynalanine Méthylester.

Le site mondial de référence norway.com, qui collectionne toutes les informations scientifiques sérieuses et indépendantes publiées sur l’aspartame, a recensé 92 effets secondaires consécutifs à la prise d’aspartame, dont certains d’une extrême gravité.

Bien évidemment, les fabricants de ces sodas ont publié quantité d’études cliniques démontrant l’innocuité toxicologique de l’aspartame. Mais on sait bien comment sont effectuées et financées ces pseudos études contradictoires, dans un tout autre domaine (les glyphosates) la même désinformation est véhiculée par les lobbyistes.

Sodalternatif

Dans So’Fizz point de sucre, point d’aspartame. Point de matières grasses non plus, point de lactose, point de gluten, point d’allergènes. Le goût sucré est dû à une édulcoration non calorique. Il s’agit réellement d’une alternative issue du secteur « recherche et innovation » du laboratoire ERIC FAVRE associant :

• Des protéines hydrolysées en quantité permettant de satisfaire les besoins accrus des sportifs de haut niveau (bodybuilders et autres) mais aussi des sportifs du dimanche, des sédentaires, bref, de tout le monde car elles sont les briques et le ciment qui structurent le corps, sans parler de leurs multiples fonctions vitales.

• Des vitamines B3, B5 et B6 qui facilitent l’assimilation de ces protéines et leur ancrage dans les zones de l’organisme les plus sollicitées que sont les muscles.

La saveur cola est unanimement appréciée par tous ceux qui en consomment déjà et ne veulent désormais plus d’autre boisson que So’Fizz pour une autre raison encore, l’intensité du PLAISIR ressenti par les papilles qui s’en abreuvent.

J’aime, tu aimes, il aime, nous aimons, vous aimez, ils aiment So’Fizz

 

Source : https://www.ericfavre.com/

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

X